Tous les articles par Yohan Poirier

Distribution des manuels scolaires

Élèves de seconde et de première

Les familles  qui ont procédé à l’inscription dans les locaux du lycée ont pu récupérer les manuels scolaires auprès des associations de parents d’élèves.  Pour celles qui ont recouru à l’inscription en ligne,  une permanence est organisée du 25 au 27 août, de 9 heures à 16 heures, et le 28 août de 9 heures à 12 heures. Il est rappelé que l’adhésion à l’une de ces deux associations (14 €) est une condition d’accès à ce service de prêt.

Élèves de terminale

Cette année, le dispositif de gratuité des manuels scolaires est étendu aux élèves de terminale. Pour en bénéficier, les familles doivent se connecter au site de la Région mesdemarches.aidesrentree.fr. Le choix de l’une des deux associations de parents d’élèves, FCPE ou PEEP, est fortement recommandé afin de faciliter les démarches, mais les familles ont aussi la possibilité de s’adresser elles-mêmes à un libraire. Dans ce deuxième cas, elles devront acquitter, le cas échéant, la différence entre le prix des manuels qui leur seront remis et le montant de l’aide de la Région (230 €).

3 jours en Normandie pour des élèves de STMG

Du 19 au 21 février 2020, 48 élèves de STMG ont participé à un voyage en Normandie, préparé en partie par les élèves eux-mêmes dans le cadre du cours de spécialité « Ressources Humaines ».

 

La Normandie, terre d’histoire et de mémoire

Dès notre arrivée, nous avons visité le Mémorial de Caen, musée consacré à l’histoire du XXe siècle dont la thématique tout entière est tournée vers l’histoire et la fragilité de la paix.

La seconde guerre mondiale y est retracée avec les conditions de vie à l’arrière et au front, la violence de la guerre dans ses diverses formes et sa répercussion sur les sociétés, la guerre froide,  la construction de l’Europe et le retour de la Paix.

Le lendemain, nous avons arpenté les allées du cimetière américain de Colleville-sur-Mer, cimetière militaire américain situé juste au-dessus de la plage dite d’Omaha Beach, l’un des sites du débarquement allié du 6 juin 1944.

La visite s’est poursuivie par celle du musée d’Arromanches,  situé sur l’esplanade qui borde la plage en face de laquelle fut établi par les alliés un port artificiel qui a permis l’acheminement du matériel nécessaire aux troupes débarquées.

Les explications du guide et les maquettes permettent de comprendre la construction et le fonctionnement du port avancé. Nous avions une vue sur ses vestiges du port à partir des fenêtres du musée.

La Normandie, une région économique diversifiée

Les enseignements technologiques en STMG  sont tous axés sur le fonctionnement des organisations.  Le voyage en Normandie nous a permis une observation et une analyse de situations réelles.

Visite de l’EPR de Flamanville

Nous avons d’abord été reçus au Centre d’Information du Public. Une conférencière a présenté l’histoire industrielle de Flamanville, les caractéristiques de la production de l’électricité en France, les installations du site normand et les points de surveillance de l’environnement.

Deux réacteurs sont en service depuis les années 1986/1987 à Flamanville. Un réacteur de nouvelle génération est actuellement en construction. La mise en service est planifiée pour 2022.

Nous avons visité l’un des réacteurs. Ce qui est frappant, c’est la grandeur des bâtiments et du site sur lequel on ne se déplace qu’en bus, ainsi que le nombre de contrôles auxquels nous avons été soumis.

La vue panoramique du haut de la falaise est impressionnante.
Visite du réacteur n° 1 de la centrale nucléaire

La manufacture des Parapluies de Cherbourg

Contrairement à ce que l’on pense souvent, l’entreprise est récente. C’est en juin 1986 que son fondateur a l’idée de fabriquer des parapluies dans une ville où cet équipement est célèbre grâce au film Les Parapluies de Cherbourg, tourné par Jacques Demy en 1963. Il dépose la marque « Le Véritable Cherbourg », crée trois modèles et s’installe dans les anciens locaux de la Banque de France.

Depuis, les innovations se sont multipliées et l’entreprise est à la tête de nombreux brevets, marques et modèles déposés. Le « Parapactum », parapluie de protection, qui équipe les officiers de sécurité de la Présidence de la République est surement le parapluie qui nous a le plus surpris.

Nous avons pu observer les salariés fabriquer à la main chaque parapluie. Rien à voir avec la production en continu de l’EPR visité la veille.

Les élèves de TSTMG RHC

 

 

 

 

Les

Atelier de professionnalisation consacré à la RSE : à la découverte de Galva Atlantique…

Le mardi 18 février 2020, les étudiants de BTS SAM ont visité l’entreprise Galva Atlantique située dans le quartier de Chef de Baie. Dans le cadre des Trophées Emergence délivrés par le journal  Sud-Ouest et la CCI, cette entreprise venait d’être mise à l’honneur quelques jours auparavant  par la remise du prix RSE en raison de son engagement au niveau social et environnemental.

Fondée en 1966 par deux frères, Edmond et Charles LOUIS, cette entreprise est spécialisée dans la galvanisation des pièces métalliques, technique qui protège contre la corrosion. Elle compte environ 4 000 clients répartis en France et à l’international. Cette PME emploie 71 salariés dont 4 femmes et 67 hommes. A noter que le site de La Rochelle est dirigé par une femme, Mme Hergon, qui a commencé par nous présenter l’entreprise.

La RSE chez Galva Altantique, une longue histoire

Source d’externalités négatives depuis des années, l’entreprise a décidé d’axer son développement sur des valeurs sociales, sociétales et environnementales. Dans son processus de production, elle n’utilise plus l’eau de la ville de La Rochelle mais seulement l’eau de pluie et l’eau déjà recyclée. En 15 ans, elle a également divisé par trois les produits chimiques utilisés. De plus, elle favorise l’économie circulaire au niveau de ses achats. Elle dispose également de son propre compost, recycle le plastique, les cannettes dans l’art urbain, les cigarettes et les poussières d’acier.

Cette entreprise est aussi soucieuse de la qualité de vie au travail et notamment de la sécurité de ses salariés. Ils revêtent tous un équipement spécifique à leur poste de travail : gants, vêtements de grand froid, harnais de sécurité, casque, lunettes, bouchons d’oreilles… Le site est clôturé par des arbres et reconnu « Refuge Ligue de Protection des Oiseaux ». Il dispose d’une aire de repos et d’un terrain de pétanque mis à la disposition des salariés.

La visite du site

La visite a été interactive et s’est déroulée en plusieurs temps : découverte des extérieurs, des bains de galvanisation, des aires de séchage, des stocks de matières premières et des stocks de pièces galvanisées, etc… Les salariés sur le site ont pris le temps d’expliquer les différentes étapes du processus et les spécificités de leur métier.

Les étudiants de BTS SAM remercient chaleureusement Mme Hergon et son équipe pour le temps qui leur a été accordé.

Les étudiants de BTS SAM1

 

Je soigne ma tenue professionnelle !

Mercredi 5 février 2020, les étudiants de BTS SAM1 avaient tous adopté une tenue vestimentaire professionnelle.
La raison ?
Une sortie au lycée hôtelier de La Rochelle, au restaurant d’initiation.

Un premier Atelier de Professionnalisation intitulé « Bienvenue dans le supérieur ! » a été proposé aux BTS SAM1 en septembre 2019. Il avait, entre autre, pour finalité d’aider les étudiants à prendre conscience de l’importance des codes dans le milieu professionnel.

Un premier temps fort a été l’intervention, en janvier, de M. Duleu, ancien manager à la retraite et membre actif de l’Association Jeunesse Entreprise. Les thèmes abordés ont été ciblés et ponctués d’anecdotes authentiques : le verbal et le non verbal pendant l’entretien de recrutement,  le langage du corps, la tenue vestimentaire dans le monde professionnel, les codes dans l’entreprise…

Le second temps fort a été la sortie au restaurant hôtelier de La Rochelle où le temps d’un repas, les étudiants ont pu observer le verbal, le non verbal, la posture, les codes et la tenue professionnelle des élèves pendant leur service. Des échanges se sont rapidement établis entre les jeunes en formation et les étudiants, enchantés par la qualité du repas servi et agréablement surpris par le professionnalisme des jeunes élèves de seconde.

« Utilisation des réseaux sociaux et protection des données personnelles », réalisé par la classe de 1STMG3

Les jeunes publient régulièrement du contenu sur divers réseaux sociaux (images, photos, vidéos, …)  et réagissent aux messages des autres utilisateurs. Mais les risques et les  dangers inhérents à l’utilisation de ces réseaux sociaux sont souvent méconnus. Les élèves de la classe de 1ère STMG3 se sont posé diverses questions : L’utilisation des réseaux sociaux représente-t-elle un danger pour la protection des données personnelles ? Existe-t-il aujourd’hui la possibilité de protéger nos  données  personnelles ? Quels sont les principaux risques ? Pourquoi faut-il protéger les données à caractère personnel ?

Les élèves de 1ère STMG3 ont donc choisi de réaliser sous forme de vidéo, un quizz, qui vous apportera les réponses à ces questions.

Ils remercient Mathieu Vouzelaud (Photographe . Vidéaste . Éducation à l’image numérique) pour son aide et ses précieux conseils dans la réalisation de cette vidéo.

A vous de jouer …. !!!

Les élèves de 1ere STMG3

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Information coronavirus

Mesdames, Messieurs,

Je vous prie de trouver, ci-dessous, quelques informations et préconisations relatives à la situation actuelle liée à la propagation du coronavirus.

D’abord, il convient de souligner qu’aucun des voyages scolaires organisés par l’établissement fin février ne s’est déroulé dans une zone considérée, aujourd’hui, comme à risque.

Les ministères de la santé et de l’éducation nationale (https://www.education.gouv.fr/info-coronavirus) publient quotidiennement  des informations et préconisations sur la question. Je vous invite à vous y référer.

Toute personne ayant séjourné pendant les vacances scolaires dans une des zones du territoire nationale ou de l’étranger considérées comme à risque est invitée à nous en informer en utilisant le formulaire ci-dessous , et à se conformer aux consignes publiées par les ministères mentionnés ci-dessus.

Pour l’heure, la rentrée est prévue normalement, y compris à l’internat. Bien entendu, nous vous tiendrons informés de toute évolution.

Bertrand ELISE
Proviseur

* indique un champ requis

 

Rencontre avec Edith Canat de Chizy, compositrice

Le 24/01/2020, salle Charline Picon, au lycée Jean Dautet La Rochelle.

Rédigé par les élèves de 1ère  spé et de 2nde Musique et leur professeur, Mme Borne

 

Déroulement de la rencontre

Edith Canat de Chizy débute la conférence, directement, en présentant son œuvre, VISIO, en lice pour le GPLC (Grand prix lycéen des compositeurs de musique contemporaine), organisé par « Musique nouvelle en Liberté ».

Compositeurs du GPLC 2020

La compositrice est assistée de Simon Bernard, chargé de mission et médiation, auprès de Musique nouvelle en liberté. Il accompagne la compositrice, et les six autres concurrents, dans les lycées à option musique, diffusant extraits musicaux et vidéos, au vidéoprojecteur.

Jérôme, cameraman et Bruno, perchman,  filment et enregistrent l’ensemble de la séance, pour les 20 ans du GPLC. On peut voir les photos sur Instagram.

Des échanges s’engagent ensuite, entre l’artiste et les lycéens, 41 élèves, issus des cours de 2nde, 1ère et terminale spé et option musique du lycée J. Dautet.

Enfin, parmi nous, quelques volontaires restent,  pour une courte interview.

 

La compositrice

Après des études d’Art et Archéologie et de Philosophie à la Sorbonne, Edith Canat de Chizy, née en 1950,  obtient successivement six premiers prix au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dont celui de composition, et s’initie à l’électroacoustique auprès du Groupe de Recherches Musicales.

Violoniste de formation, elle compose une centaine d’opus, issus de commandes de l’Etat, Radio France, l’Orchestre de Paris, l’Ircam,  et divers ensembles.

Elle a dirigé deux conservatoires d’arrondissement de Paris et  a enseigné la composition.

De nombreuses distinctions couronnent son œuvre : Prix de la Tribune Internationale des Compositeurs (en 1990), Prix Paul-Louis Weiller de l’Académie des Beaux-Arts (1992), Prix Jeune Talent Musique de la SACD, plusieurs prix décernés par la SACEM.

Elue à l’Académie des Beaux-Arts en 2005, présidente en 2016, Edith Canat de Chizy est la première femme compositeur,  membre de l’Institut de France.

Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre du Mérite et Commandeur des Arts et lettres, elle reçoit en 2016 le Grand Prix du Président de la République de l’Académie Charles Cros pour l’ensemble de son œuvre.

 

Présentation et analyse (succincte) de l’œuvre

VISIO (2015) d’ Edith Canat de Chizy est une commande de l’Etat, créée en 2016, à la Maison de la Radio, pour 6 voix mixtes, ensemble instrumental et électronique, durée : 22 mn.

VISIO est interprétée par Grégory Beller (dispositif électronique et informatique musicale) les solistes XXI et  l’ensemble Multilatérale sous la direction de Léo Warynski.

VISIO est basée sur des textes de Hildegarde von Bingen «la troisième vision » extraits du Livre des œuvres divines. Cette pièce cherche à suggérer l’idée de la poétesse médiévale, du mouvement circulaire de l’univers,  par l’utilisation d’un dispositif électronique enregistré et en temps réel.  Les textes sont en français et en latin, parlés, chantés, psalmodiés.

Edith Canat de Chizy subdivise sa pièce en 3 parties, en lien étroit avec la poésie :

– De circulo gyrante : “Je vis une immense sphère, ayant à sa partie extérieure un cercle de lumière étincelante “(extrait)

Dans la 1ère séquence, L’écriture des voix et des instruments s’inscrit dans un mouvement circulaire.  L’alliage subtil des timbres, l’utilisation des percussions résonnantes, dont la cymbale tournante* et l’électronique, suggèrent les spirales ascensionnelles et tourbillons de vents décrits par la poétesse dans ses visions. Les voix féminines engendrent l’aspect comptine, le recto-tono renvoie au texte sacré.

*la cymbale tournante (crotale positionnée sur un pied équipé d’un axe rotatif. En la faisant tourner on crée un effet d’ondulation du son.)

– Finito : ” J’ai vu comme un feu resplendissant, incompréhensible, inextinguible ; [l’énergie divine y anime le firmament] d’un mouvement circulaire, du levant au couchant, au-dessus de la terre “. (extrait)

Dans la 2ème séquence, le mot « finito » souligne la fin des temps, l’Apocalypse : long et lent glissando vocal. L’agrandissement de l’espace est matérialisé par des sons très aigus et très graves, en alternance, obtenus pas l’électronique, en relais des voix.

– Epilogue : La dernière séquence est un épilogue ou une renaissance. Voix sifflées très aiguës des chanteurs, reprises par l’électronique. Le mot CA-RI-TAS, répété, chuchoté, est un message d’amour universel, sur fond marin.

 

L’utilisation de l’électronique dans Visio

1ère phase : Edith Canat de Chizy a travaillé avec un technicien de R.I.M. (recherches en informatique musicale) qui a enregistré des sons (voix, instruments), puis les a transformés, jouant sur les hauteurs et bruitages.

2ème phase : après avoir écrit sa pièce, elle a ajouté la maquette électronique, jouée, en direct, pendant le concert. C’est le flûtiste qui déclenche la partie électronique, en actionnant la pédale 1, 2, 3, etc…

3ème phase : afin de jouer sur les effets, la compositrice, a souhaité spatialiser le son : des hauts parleurs étaient disposés tout autour des auditeurs, lors de la création et de l’enregistrement.  Voir l’émission « Nouveau son » sur Radio-France.

 

Les échanges, nos questions à la compositrice

Quels  compositeurs vous inspirent ?

Henri DUTILLEUX,  György LIGETI,  Pierre BOULEZ.

Henri DUTILLEUX (1916-2013), reconnu comme l’un des plus grands compositeurs français du XXe siècle et comme celui qui incarne le mieux la continuité de la musique française après Claude Debussy et Maurice Ravel.

György LIGETI (1923-2006), compositeur Hongrois, naturalisé Autrichien, utilise la répétition d’un même son dans plusieurs voix à des vitesses presque identiques crée des déphasages évoluant lentement dans le temps.  C’est Stanley Kubrick, qui contribuera à le rendre mondialement célèbre, en reprenant ses musiques, Atmosphère et Lux Aeterna, pour son film 2001, Odyssée de l’espace (1968).

Pierre BOULEZ (1925-2016), compositeur français. Son écriture est exigeante, basée sur la pensée sérielle  qu’il défend. Il est aussi un des précurseurs dans la recherche acoustique. Il travaille sur l’interaction instrument/machine et créé en 1977 l’Institut de Recherche et de Coordination Acoustique de la Musique  (IRCAM).

Quel genre de musique écoutez-vous le plus?

De tout. On peut puiser dans toute musique et être curieux.

Quelles sont vos sources d’inspiration ?

Je m’inspire principalement de ma vie personnelle, mon environnement, mes émotions, mon imaginaire, mais aussi d’évènements marquants et de poésies que je lis, comme, pour Visio, ceux d’Hildegarde von Bingen.

Comment procédez-vous pour composer ?

Je note rapidement des choses et les mets en forme, ensuite. Je ne sais pas, à l’avance, ce qui va sortir de mon esprit. Pour moi, la priorité c’est l’imaginaire. Ce qui me motive continuellement dans la création, c’est l’exploration d’un monde que je ne connais pas.

Je l’atèle à mon métier de compositeur*, tous les jours, avec rigueur : 4h dans la matinée, puis de 17h jusqu’au dîner.  L’après-midi, je me détends et vais marcher. Parfois, je travaille toute la journée, y compris le soir, lorsque je dois tenir un délai de commande,  pour une date précise. Je n’écris pas pour plaire aux autres, mais pour les autres.

Pour quels instruments écrivez-vous le plus ?

A mes débuts, le violon, puisque je suis violoniste de formation. Par la suite, j’ai élargi à la musique de chambre, d’orchestre, la musique vocale et chorale, la musique électronique, mais j’aime particulièrement écrire pour les instruments à cordes. J’ai conçu, récemment,  le trio polycordes, pour mandoline, guitare et harpe (2019).

Etes-vous l’interprète de vos propres œuvres ?

Non. Je suis compositeur*, ce qui m’occupe à plein temps, avec d’autres activités.

* La compositrice se considère comme un compositeur ;  un,  désignant le genre neutre.

 

Les échanges, les questions de la compositrice, vers nous

La compositrice nous a questionnés, afin de savoir lesquels, parmi nous,  jouent d’un instrument à cordes ? Lesquels  étudient au conservatoire de musique ? Quels compositeurs contemporains connaissons-nous ?

Qui compose, parmi nous ? Qui veut faire un métier dans la musique ?

Elle nous a conseillé de suivre nos envies, sans nous poser de questions sur le comment, les formations et les études pour y parvenir.

 

Nos impressions personnelles

«Au début, Edith m’est apparue difficile d’accès, puis, après la rencontre, je suis allée la voir. Je l’ai trouvée gentille et rassurante. »
Alexiane, 2nde

 

« Je n’ai pas apprécié la musique de Mme Canat de Chizy, mais son travail reste professionnel et qualitatif. On voit qu’elle adore ce qu’elle fait et que la musique est, pour elle, une réelle passion »
Joseph, 2nde

 

« J’ai trouvé la compositrice très agréable. Elle a su nous parler de sa composition avec passion, en nous l’expliquant. »
Jeanne, 2nde

 

« J’ai beaucoup aimé cette rencontre, car elle m’a permis de savoir en quoi consiste le métier de compositrice et aussi de comprendre la musique contemporaine, bien que ce ne soit pas une musique que j’apprécie. »
Ilda, 2nde

 

« Au moment où nous devions évaluer les compositeurs, j’avais choisi Visio, comme œuvre préférée. Pendant la rencontre, on a pu écouter l’œuvre de manière plus approfondie, on a eu des explications sur la création et les choix de la compositrice. Malgré le côté oppressant de la musique, j’apprécie les similitudes avec la musique du film 2001 Odyssée de l’espace ».
Sébastien, 2nde.

 

« J’aime beaucoup le travail d’Edith Canat de Chizy, et de son parcours, remarquable. Cependant, je n’apprécie pas la musique contemporaine. »
Ange, 2nde.

 

« La compositrice s’est plus focalisé sur l’aspect technique de son œuvre plutôt que sur ses émotions qui ont justifié ses choix musicaux. »
Adèle, 1ère

 

« J’ai beaucoup aimé cet échange, qui m’a beaucoup appris sur la musique. De plus, la compositrice était à l’écoute de tout le monde. »
Elvis

 

« Bien que l’étrangeté de son œuvre, Visio, nous ait surpris, le côté magnétique d’Edith Canat de Chizy a su nous maintenir à bout de souffle. De nombreuses questions ont été posées. Les élèves étaient réceptifs, tout comme les intervenants, qui ont semblé passer un moment agréable. »
Louise, 2nde

 

«C’était intéressant d’en apprendre plus sur la compositrice, sur sa manière de voir les choses, sur la façon de composer et sur sa vie d’artiste. Malgré cela, cette œuvre me paraît étrange et sombre ; ce n’est pas de la musique (pure) c’est un fond sonore pour accompagner des images.»
Félix, 2nde

 

« L’œuvre d’Edith Canat de Chizy nous envoûte au plus profond de notre âme. Ces sons, à la fois, divertissants et intrigants,  nous mènent dans un autre univers. »
Alice, 2nde

 

«J’ai beaucoup aimé ce projet: pouvoir poser des questions, directement à une compositrice, a été pour moi une expérience très enrichissante. Grâce à elle, je sais, maintenant, comment bien composer, comment trouver l’inspiration. En plus, j’ai participé à l’interview. C’était stressant et excitant, à la fois. »
Edgar, 2nde

 

«A la présentation de l’œuvre, j’ai constaté une meilleure compréhension. Cependant, cela manquait un peu de dynamisme. Par contre, les échanges étaient plus intéressants »
Elodie 1ère

 

« Elle s’inspire de sa vie, mais son œuvre reste assez sombre. Elle semble courageuse, par son parcours professionnel remarquable. »
Paul 1ère

 

« Cette rencontre est intéressante pour quelqu’un qui compose. Elle s’est intéressé à chaque élève, en lui demandant ses goûts musicaux et activités. »
Emeline, 1ère

 

 

 Top 100 des Moins de 18 ans Féminines !

Du 19 au 23 février 2020, se déroule au Centre National du Rugby de Marcoussis, un stage national qui regroupe les 100 meilleures joueuses de la catégorie Moins de 18 ans Féminines.

Pauline BARRAT (Stade Rochelais), Cameron GIE (Stade Niortais) et Ofa TU’UNGAFASI (Athlétique Rugby Club Baillargeois Valvert) représentes la Section Sportive Rugby du Lycée Jean Dautet.

Nous souhaitons un bon stage à nos 3 élèves !

Parcours scolaire, parcours sportif : Nathan HUGUEN un exemple de réussite du double projet !

Nathan HUGUEN, étudiant en classe préparatoire Physique Chimie, Science de l’Ingénieur (PCSI), participe actuellement à un stage national de rugby qui regroupe les 100 meilleurs joueurs de sa tranche d’âge.

Ce rassemblement est un tremplin pour les équipes de France jeunes.

Joueur du Stade Rochelais, membre de l’Académie Fédérale Pôle Espoir et étudiant brillant, Nathan est un bel exemple de réussite du double projet : sportif et scolaire !

Nous remercions l’équipe pédagogique du Lycée Jean Dautet qui permet à Nathan de suivre les cours à distance et nous souhaitons un maximum de réussite à Nathan pour la suite de son parcours sportif et scolaire.