Le vendredi 25 novembre, à l’occasion de la tenue sur trois jours du PREAC des Francofolies, les élèves participant à l’option musique Première et Terminale au Lycée se sont retrouvés à La Coursive, afin d’effectuer un concert devant les participants du séminaire. Ils ont ainsi pu présenter la chanson Histoire d’Amour de Gaël Faye, artiste à l’honneur de l’année 2022 et réaliser une intervention quant à leur retour d’expérience, à propos du projet “Vivre la scène actuelle au Chantier des Francofolies”, qui s’est déroulé sur l’année scolaire 2021/2022 avec Madame Puillandre.
Voici une petite vidéo de ce beau moment musical partagé, avec Luis au Caron, Maïleen à la basse, Rayane à la guitare, Léanne au piano ainsi que le choeur de l’option et du séminaire.
Rédigé par Dominique Borne, Professeur référent en Option Musique à Dautet
Vendredi 09 Septembre 2022, entre 13h et 14h, le lycée Dautet s’est mis à l’heure de la musique, sous la direction de la compagnie TOUMBACK, représentée par Anne Kennel et Stéphane Grosjean (fondateur et directeur artistique).
Sollicitée pour fêter la rentrée en musique à Dautet, TOUMBACK a partagé son savoir-faire et son énergie auprès des lycéens, dans la cour du lycée, devant le bâtiment A.
Le soleil étant de la partie, TOUMBACK a débuté par des exercices d’échauffement, proches du taï chi, dénouant le stress en favorisant la respiration et le lâcher-prise, sur des musiques judicieusement choisies.
Progressivement, le rythme s’est installé.
Les élèves de l’option Musique du lycée Dautet sont vite entrés dans la danse, pris par le jeu communicatif des percussions corporelles. D’autres élèves et des professeurs se sont laissés entraînés et ont participé à une chorégraphie de corps vibrant à l’unisson, sous le regard émerveillé de Mme Legras, proviseur et de M. Dousset, intendant du lycée.
Des figures linéaires, occupant l’espace, ont fait place à des joutes frontales et ludiques entre les participants, combinant divers éléments.
En guise de conclusion à cette aubade, le ballet de percussions corporelles a enchaîné toutes les figures, guidé par les deux artistes de TOUMBACK. Une belle réussite, marquant, avec brio, ce début d’année scolaire.
« Merci pour ce beau moment festif vendredi midi ! J’ai apprécié cette énergie, les sourires des participants et surtout l’envie de bien faire ! »
Mme Legras, proviseur du lycée.
« Bravo aux élèves de Dautet ! Très réceptifs ! Belle performance ! »
TOUMBACK
Les terminales spécialité Musique vous souhaitent une joyeuse fête de la musique et de bonnes vacances scolaires !
Le projet Francofolies 2022 auquel ont participé tous les élèves du Lycée Dautet qui ont choisi l’Option Musique 2nde et facultative 1ère/Terminale au Lycée Dautet cette année touche doucement à sa fin.
Les élèves ont pu découvrir de nouveaux artistes à l’occasion du cinquième et dernier concert qui s’est tenu le 5 mai au Chantier des Francofolies. D’une ouverture en douceur par Similigum, en passant par les prouesses vocales de Château Forte, la session 2022 s’est clôturée avec la pétillante Kalika et son musicien Balthazar.
Le projet « Vivre la musique actuelle à travers le Chantier des Francofolies », ce fût pour les élèves :
Mais aussi…
Et ce n’est pas tout à fait fini…
8 élèves ont été sélectionnés au début de l’année, à l’occasion d’entretiens, pour participer au Coup de Coeur Lycéen du Chantier des Francofolies 2022.
Le jeudi 2 juin, ces huit élèves présenteront devant l’équipe des Francofolies l’artiste Coup de Coeur qu’ils auront sélectionné, grâce à tous les concerts auxquels ils ont assisté. Ils iront ensuite à nouveau à la rencontre de cet artiste, sur le Festival des Francofolies cet été, afin d’assister à son concert. Des surprises sont encore prévues cet été !
Vous trouverez ci-dessous une vidéo qui rassemble des extraits du concert des élèves du Jeudi 7 avril au Chantier des Francofolies :
F.PUILLANDRE
Fabien Waksman, lauréat du GPLC (grand prix lycéen des compositeurs) 2022 est venu rencontrer une cinquantaine de lycéens de l’option Musique du lycée Jean Dautet, Jeudi 14 Avril 2022.
Il était accompagné de la médiatrice culturelle du GPLC, Julie Quiquerez.
En amont, les élèves avaient écouté et analysé les six œuvres des compositeurs en lice de cette 23ème édition du GPLC ; en Février, dernier, ils ont voté, pour élire la musique « contemporaine » de leur choix.
Fabien Waksman (né en 1980), triple lauréat du prix des lycéens, collégiens et professeurs, effectuait sa 69ème et dernière rencontre en milieu scolaire, pour échanger autour de sa pièce instrumentale, Carcera oscura. Cette musique de 6’51, s’inspire de deux éléments : une eau-forte de Piranesi et la surdité de Beethoven.
Dans la gravure, Carcera oscura (prison obscure) de G. Piranesi (1720-1778), qui donnera son nom à la pièce de F. Waksman, les jeux subtils d’ombre et de lumière, ponctués de chaînes et barreaux noirs, expriment l’angoisse de l’enfermement.
Victime d’une surdité grandissante, puis totale, Ludwig van Beethoven, vivra difficilement son isolement du monde sonore. F. Waksman lui rend hommage, en reprenant très librement le motif musical de la célébrissime Symphonie n°5.
C’est pourquoi Carcere Oscura, décrit la prison intérieure où évoluait Beethoven, suite à sa surdité, et, par extension, tout concept de claustration, générant anxiété et oppression.
Fabien Waksman explique que : « Cet univers carcéral possède, par son caractère monumental, un aspect fantastique. Il n’en reste pas moins à jamais clos, inhumain, et par conséquent terriblement effrayant. Pour reprendre les mots de Marguerite Yourcenar, les Carceri évoquent un “monde factice, et pourtant sinistrement réel, claustrophobique, et pourtant mégalomane (qui) n’est pas sans nous rappeler celui où l’humanité moderne s’enferme chaque jour davantage”.
Aussi, pour effectuer cette rencontre, la salle de musique, M7 était mise à disposition. Mais, séduit par le cadre verdoyant du lycée Dautet et la température particulièrement clémente, voire printanière de ce Jeudi d’Avril, le compositeur opta pour une présentation impromptue en plein air, troquant la clé de sol contre la clé des champs.
Est-ce pour déjouer l’enfermement que véhicule sa pièce, que le compositeur a choisi de se mettre au vert ?
Ou est-ce pour contrer le confinement et la claustration subie pendant la crise sanitaire, que Fabien Waksman a troqué le piano contre le champ, en toute simplicité ?
Après avoir présenté brièvement son œuvre, et la formation atypique (quatuor à cordes et accordéon), le lauréat a sollicité les lycéens, afin d’échanger et dialoguer, autour de sa pièce, le métier de compositeur, ses procédés d’écriture, ses goûts et intérêts, (notamment pour l’opéra, le rap américain, les films d’animation japonais…) dans une ambiance détendue et informelle.
Les élèves se sont bien investis dans cette rencontre et ont témoigné de leur intérêt pour cette musique un peu étrange, mais accessible.
Le compositeur recevra prochainement une commande de la Maison de la Musique Contemporaine pour la composition d’une pièce pour orchestre. Cette nouvelle œuvre sera créée le 9 mars 2023 à la Maison de la Radio et de la Musique, dans le cadre de la Journée Nationale 2023.
Rédigé par Dominique Borne, professeur de musique référente au lycée Dautet.
carcera oscura-gravureC’est jeudi 09/09/2021 que deux membres de l’ensemble « Il convito » sont venus célébrer « la rentrée en musique », au lycée Dautet, en salle Charline Picon.
Il Convito est un orchestre de chambre de solistes, dirigé par Maude Gratton. Jouant sur instruments historiques, il va au-devant d’un public scolaire, afin de rendre la musique « savante » plus accessible.
Une cinquantaine d’élèves de l’option et de la spécialité Musique, auxquels se sont joints des étudiants de MPSI et leur professeur, Mme Penasa, ont écouté puis applaudi Agnès Boissonnot-Guilbeau et Gauthier Broutin, sur des pièces de compositeurs baroques.
Mme Legras, le nouveau proviseur du lycée Dautet et M. Dousset, l’intendant, sont venus honorer de leur présence cette aubade.
L’auditoire de Dautet, particulièrement attentif, a pu apprécier le jeu virtuose de ce duo et les explications simples et claires des artistes : le contexte historique et culturel précédait ou suivait chacune de leur prestation. Quelques exemples ont étayé leurs propos, concernant les instruments joués (violoncelle baroque et viole de gambe) et les techniques spécifiques, utilisées. L’interprétation baroque ne se réduit pas à l’obéissance stricte d’une partition, puisque l’artiste peut improviser, inventer et jouer avec les ornements, dans une totale liberté.
Pour certains élèves, qui ne connaissaient pas ce répertoire et pour d’autres, assez peu la musique « savante », ce fut une découverte.
Après 14h, un échange s’est engagé entre les deux artistes et les élèves de terminale de spécialité Musique, concernant le parcours musical et professionnel, les conditions de vie et le statut social de ces intermittents du spectacle. Ces derniers ont également expliqué comment leur passion est devenue un métier.
Lise Machet, la médiatrice culturelle de l’ensemble « Il convito » est intervenue sur son rôle, et les divers métiers, autour de la musique, des coulisses à la scène.
« Quant la musique est souveraine, les paroles sont vaines ». Szczepan Yamenski, écrivain polonais
Un grand merci au personnel de direction du lycée, qui a favorisé cette « rentrée en musique ».
Article rédigé par Dominique Borne, référente de l’option musique au lycée.
Le 24/01/2020, salle Charline Picon, au lycée Jean Dautet La Rochelle.
Rédigé par les élèves de 1ère spé et de 2nde Musique et leur professeur, Mme Borne
Edith Canat de Chizy débute la conférence, directement, en présentant son œuvre, VISIO, en lice pour le GPLC (Grand prix lycéen des compositeurs de musique contemporaine), organisé par « Musique nouvelle en Liberté ».
La compositrice est assistée de Simon Bernard, chargé de mission et médiation, auprès de Musique nouvelle en liberté. Il accompagne la compositrice, et les six autres concurrents, dans les lycées à option musique, diffusant extraits musicaux et vidéos, au vidéoprojecteur.
Jérôme, cameraman et Bruno, perchman, filment et enregistrent l’ensemble de la séance, pour les 20 ans du GPLC. On peut voir les photos sur Instagram.
Des échanges s’engagent ensuite, entre l’artiste et les lycéens, 41 élèves, issus des cours de 2nde, 1ère et terminale spé et option musique du lycée J. Dautet.
Enfin, parmi nous, quelques volontaires restent, pour une courte interview.
Après des études d’Art et Archéologie et de Philosophie à la Sorbonne, Edith Canat de Chizy, née en 1950, obtient successivement six premiers prix au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dont celui de composition, et s’initie à l’électroacoustique auprès du Groupe de Recherches Musicales.
Violoniste de formation, elle compose une centaine d’opus, issus de commandes de l’Etat, Radio France, l’Orchestre de Paris, l’Ircam, et divers ensembles.
Elle a dirigé deux conservatoires d’arrondissement de Paris et a enseigné la composition.
De nombreuses distinctions couronnent son œuvre : Prix de la Tribune Internationale des Compositeurs (en 1990), Prix Paul-Louis Weiller de l’Académie des Beaux-Arts (1992), Prix Jeune Talent Musique de la SACD, plusieurs prix décernés par la SACEM.
Elue à l’Académie des Beaux-Arts en 2005, présidente en 2016, Edith Canat de Chizy est la première femme compositeur, membre de l’Institut de France.
Chevalier de la Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre du Mérite et Commandeur des Arts et lettres, elle reçoit en 2016 le Grand Prix du Président de la République de l’Académie Charles Cros pour l’ensemble de son œuvre.
VISIO (2015) d’ Edith Canat de Chizy est une commande de l’Etat, créée en 2016, à la Maison de la Radio, pour 6 voix mixtes, ensemble instrumental et électronique, durée : 22 mn.
VISIO est interprétée par Grégory Beller (dispositif électronique et informatique musicale) les solistes XXI et l’ensemble Multilatérale sous la direction de Léo Warynski.
VISIO est basée sur des textes de Hildegarde von Bingen «la troisième vision » extraits du Livre des œuvres divines. Cette pièce cherche à suggérer l’idée de la poétesse médiévale, du mouvement circulaire de l’univers, par l’utilisation d’un dispositif électronique enregistré et en temps réel. Les textes sont en français et en latin, parlés, chantés, psalmodiés.
Edith Canat de Chizy subdivise sa pièce en 3 parties, en lien étroit avec la poésie :
– De circulo gyrante : “Je vis une immense sphère, ayant à sa partie extérieure un cercle de lumière étincelante “(extrait)
Dans la 1ère séquence, L’écriture des voix et des instruments s’inscrit dans un mouvement circulaire. L’alliage subtil des timbres, l’utilisation des percussions résonnantes, dont la cymbale tournante* et l’électronique, suggèrent les spirales ascensionnelles et tourbillons de vents décrits par la poétesse dans ses visions. Les voix féminines engendrent l’aspect comptine, le recto-tono renvoie au texte sacré.
*la cymbale tournante (crotale positionnée sur un pied équipé d’un axe rotatif. En la faisant tourner on crée un effet d’ondulation du son.)
– Finito : ” J’ai vu comme un feu resplendissant, incompréhensible, inextinguible ; [l’énergie divine y anime le firmament] d’un mouvement circulaire, du levant au couchant, au-dessus de la terre “. (extrait)
Dans la 2ème séquence, le mot « finito » souligne la fin des temps, l’Apocalypse : long et lent glissando vocal. L’agrandissement de l’espace est matérialisé par des sons très aigus et très graves, en alternance, obtenus pas l’électronique, en relais des voix.
– Epilogue : La dernière séquence est un épilogue ou une renaissance. Voix sifflées très aiguës des chanteurs, reprises par l’électronique. Le mot CA-RI-TAS, répété, chuchoté, est un message d’amour universel, sur fond marin.
1ère phase : Edith Canat de Chizy a travaillé avec un technicien de R.I.M. (recherches en informatique musicale) qui a enregistré des sons (voix, instruments), puis les a transformés, jouant sur les hauteurs et bruitages.
2ème phase : après avoir écrit sa pièce, elle a ajouté la maquette électronique, jouée, en direct, pendant le concert. C’est le flûtiste qui déclenche la partie électronique, en actionnant la pédale 1, 2, 3, etc…
3ème phase : afin de jouer sur les effets, la compositrice, a souhaité spatialiser le son : des hauts parleurs étaient disposés tout autour des auditeurs, lors de la création et de l’enregistrement. Voir l’émission « Nouveau son » sur Radio-France.
Henri DUTILLEUX, György LIGETI, Pierre BOULEZ.
Henri DUTILLEUX (1916-2013), reconnu comme l’un des plus grands compositeurs français du XXe siècle et comme celui qui incarne le mieux la continuité de la musique française après Claude Debussy et Maurice Ravel.
György LIGETI (1923-2006), compositeur Hongrois, naturalisé Autrichien, utilise la répétition d’un même son dans plusieurs voix à des vitesses presque identiques crée des déphasages évoluant lentement dans le temps. C’est Stanley Kubrick, qui contribuera à le rendre mondialement célèbre, en reprenant ses musiques, Atmosphère et Lux Aeterna, pour son film 2001, Odyssée de l’espace (1968).
Pierre BOULEZ (1925-2016), compositeur français. Son écriture est exigeante, basée sur la pensée sérielle qu’il défend. Il est aussi un des précurseurs dans la recherche acoustique. Il travaille sur l’interaction instrument/machine et créé en 1977 l’Institut de Recherche et de Coordination Acoustique de la Musique (IRCAM).
De tout. On peut puiser dans toute musique et être curieux.
Je m’inspire principalement de ma vie personnelle, mon environnement, mes émotions, mon imaginaire, mais aussi d’évènements marquants et de poésies que je lis, comme, pour Visio, ceux d’Hildegarde von Bingen.
Je note rapidement des choses et les mets en forme, ensuite. Je ne sais pas, à l’avance, ce qui va sortir de mon esprit. Pour moi, la priorité c’est l’imaginaire. Ce qui me motive continuellement dans la création, c’est l’exploration d’un monde que je ne connais pas.
Je l’atèle à mon métier de compositeur*, tous les jours, avec rigueur : 4h dans la matinée, puis de 17h jusqu’au dîner. L’après-midi, je me détends et vais marcher. Parfois, je travaille toute la journée, y compris le soir, lorsque je dois tenir un délai de commande, pour une date précise. Je n’écris pas pour plaire aux autres, mais pour les autres.
A mes débuts, le violon, puisque je suis violoniste de formation. Par la suite, j’ai élargi à la musique de chambre, d’orchestre, la musique vocale et chorale, la musique électronique, mais j’aime particulièrement écrire pour les instruments à cordes. J’ai conçu, récemment, le trio polycordes, pour mandoline, guitare et harpe (2019).
Non. Je suis compositeur*, ce qui m’occupe à plein temps, avec d’autres activités.
* La compositrice se considère comme un compositeur ; un, désignant le genre neutre.
La compositrice nous a questionnés, afin de savoir lesquels, parmi nous, jouent d’un instrument à cordes ? Lesquels étudient au conservatoire de musique ? Quels compositeurs contemporains connaissons-nous ?
Qui compose, parmi nous ? Qui veut faire un métier dans la musique ?
Elle nous a conseillé de suivre nos envies, sans nous poser de questions sur le comment, les formations et les études pour y parvenir.
«Au début, Edith m’est apparue difficile d’accès, puis, après la rencontre, je suis allée la voir. Je l’ai trouvée gentille et rassurante. »
Alexiane, 2nde
« Je n’ai pas apprécié la musique de Mme Canat de Chizy, mais son travail reste professionnel et qualitatif. On voit qu’elle adore ce qu’elle fait et que la musique est, pour elle, une réelle passion »
Joseph, 2nde
« J’ai trouvé la compositrice très agréable. Elle a su nous parler de sa composition avec passion, en nous l’expliquant. »
Jeanne, 2nde
« J’ai beaucoup aimé cette rencontre, car elle m’a permis de savoir en quoi consiste le métier de compositrice et aussi de comprendre la musique contemporaine, bien que ce ne soit pas une musique que j’apprécie. »
Ilda, 2nde
« Au moment où nous devions évaluer les compositeurs, j’avais choisi Visio, comme œuvre préférée. Pendant la rencontre, on a pu écouter l’œuvre de manière plus approfondie, on a eu des explications sur la création et les choix de la compositrice. Malgré le côté oppressant de la musique, j’apprécie les similitudes avec la musique du film 2001 Odyssée de l’espace ».
Sébastien, 2nde.
« J’aime beaucoup le travail d’Edith Canat de Chizy, et de son parcours, remarquable. Cependant, je n’apprécie pas la musique contemporaine. »
Ange, 2nde.
« La compositrice s’est plus focalisé sur l’aspect technique de son œuvre plutôt que sur ses émotions qui ont justifié ses choix musicaux. »
Adèle, 1ère
« J’ai beaucoup aimé cet échange, qui m’a beaucoup appris sur la musique. De plus, la compositrice était à l’écoute de tout le monde. »
Elvis
« Bien que l’étrangeté de son œuvre, Visio, nous ait surpris, le côté magnétique d’Edith Canat de Chizy a su nous maintenir à bout de souffle. De nombreuses questions ont été posées. Les élèves étaient réceptifs, tout comme les intervenants, qui ont semblé passer un moment agréable. »
Louise, 2nde
«C’était intéressant d’en apprendre plus sur la compositrice, sur sa manière de voir les choses, sur la façon de composer et sur sa vie d’artiste. Malgré cela, cette œuvre me paraît étrange et sombre ; ce n’est pas de la musique (pure) c’est un fond sonore pour accompagner des images.»
Félix, 2nde
« L’œuvre d’Edith Canat de Chizy nous envoûte au plus profond de notre âme. Ces sons, à la fois, divertissants et intrigants, nous mènent dans un autre univers. »
Alice, 2nde
«J’ai beaucoup aimé ce projet: pouvoir poser des questions, directement à une compositrice, a été pour moi une expérience très enrichissante. Grâce à elle, je sais, maintenant, comment bien composer, comment trouver l’inspiration. En plus, j’ai participé à l’interview. C’était stressant et excitant, à la fois. »
Edgar, 2nde
«A la présentation de l’œuvre, j’ai constaté une meilleure compréhension. Cependant, cela manquait un peu de dynamisme. Par contre, les échanges étaient plus intéressants »
Elodie 1ère
« Elle s’inspire de sa vie, mais son œuvre reste assez sombre. Elle semble courageuse, par son parcours professionnel remarquable. »
Paul 1ère
« Cette rencontre est intéressante pour quelqu’un qui compose. Elle s’est intéressé à chaque élève, en lui demandant ses goûts musicaux et activités. »
Emeline, 1ère