Rencontre avec des étudiants canadiens de l’université d’Edmonton
Comme chaque année, le lycée Dautet a reçu la visite d’un groupe d’étudiants canadiens anglophones.
Le vendredi 6 juin, après avoir rencontré des élèves de 2de 5 et de 1G7 du lycée et conversé dans les deux langues à partir d’un diaporama, les étudiants ont été accueillis à la MDL par Emmanuelle GUILLOT, notre référente culture, et apprécié des rafraîchissements tout en profitant de l’exposition « De La Rochelle aux Amériques, de l’esclavage à l’émancipation » réalisée par les élèves de Madame GUILBAUD-PEREZ.
Un repas au restaurant scolaire a été précédé d’une visite du bunker et d’un temps de recueillement devant les plaques à la mémoire des deux élèves déportés lors de la seconde guerre mondiale, Paulette LEWINSZKY et Bernard ROSENSWEIG.
La rencontre, plébiscitée par tous, s’est terminée par le « Parcours Québec », un jeu de piste dans le centre-ville de La Rochelle encadré par les élèves de 2de 8 de Madame BROSSE et préparé par les étudiants du BTS SAM.
Ce mercredi 14 mai après-midi, s’est déroulée, à l’espace Encan, la remise des prix des Olympiades régionales de chimie de l’académie de Poitiers.
Ce concours a réuni cette année 93 candidats sur l’académie, candidats qui se sont préparés pendant des séances de 3 heures de TP durant 5 mercredi après-midi. Tous ces candidats ont ensuite passé une épreuve écrite en janvier, puis les 16 premiers à l’issue de l’épreuve écrite ont passé une épreuve de TP à Poitiers. Enfin les 6 premiers ont poursuivi avec une épreuve orale collaborative.
Parmi les 16 lauréats récompensés ce mercredi, le lycée Dautet était représenté par 3 brillantes élèves : VEDERINE Elisa(TG10), classée 3ème, MASSON Gaëlle(TG10), classée 6ème, et Else ALEXANDRE(TG11), classée 7ème. Félicitations à ces trois élèves, et merci pour leur investissement et leur engagement à tous les élèves ayant suivi les séances de préparation à ces Olympiades de chimie.
Ce mardi 15 avril, nous avons eu le plaisir d’accueillir deux skippers de l’édition 2024-2025 du Vendée Globe : Antoine Cornic et Yannick Bestaven.
Les élèves de Grande Section de Maternelle de l’école Réaumur, ainsi que ceux des sections sportives du lycée, ont eu l’opportunité de leur poser des questions, par l’intermédiaire de deux élèves volontaires de la section voile, Hanaë et Antoine. Merci à eux !
Ce moment d’échange a permis à tous de découvrir les skippers, leurs parcours inspirants et leurs impressions sur cette incroyable aventure autour du monde, au départ des Sables-d’Olonne.
La rencontre a débuté avec les questions des élèves de l’école Réaumur, ce qui a permis d’instaurer un ton plus léger et enfantin. Nous avons par exemple appris que le Père Noël livrait ses cadeaux… quelques mois à l’avance !
Les deux élèves de la section voile ont ensuite pris le relais. Les skippers ont ainsi pu s’exprimer plus en détail sur leurs expériences, les particularités de leurs bateaux et les défis du Vendée Globe.
Ils ont notamment évoqué un fait plutôt rare : lors de cette édition, il y avait « pétole » lors du départ, c’est-à-dire pas de vent. Si ce n’est pas idéal pour une course, cela a permis un départ plus serein, sans risque de collision entre les 40 bateaux, et a offert aux skippers un moment précieux pour dire au revoir à leurs proches.
Chacun a présenté son bateau. Antoine Cornic a rappelé que tous les participants naviguent sur un IMOCA, un voilier de course spécialement conçu pour le tour du monde en solitaire. Yannick Bestaven, lui, a pris le départ avec un IMOCA de dernière génération, équipé de foils, des “ailes” qui permettent au bateau de “voler” au-dessus de l’eau et d’augmenter sa vitesse. Antoine Cornic, de son côté, a navigué sur un bateau plus ancien, sans foils. Il a souligné qu’il était logique que Yannick dispose d’un bateau plus performant, compte tenu de son expérience et de sa victoire lors de l’édition 2020.
Les deux navigateurs sont ensuite revenus sur les difficultés rencontrées en mer. Yannick Bestaven a notamment été contraint d’abandonner la course cette année, à la suite de plusieurs avaries. Il a cependant partagé un souvenir fort : une escale de sept jours à Ushuaïa, en Patagonie, où il a pu réparer son bateau avant de reprendre la mer en direction des Sables-d’Olonne.
Le Vendée Globe étant une course en solitaire et sans assistance, les skippers doivent également savoir se soigner eux-mêmes. Antoine Cornic, par exemple, a raconté qu’il avait dû se recoudre la main pendant la course !
Les skippers ont aussi expliqué comment ils géraient la solitude du voyage et occupaient leur temps à bord. Yannick Bestaven a confié que cette solitude n’était pas une source de stress pour lui, ayant déjà réalisé deux Vendée Globe et participé à d’autres courses en solitaire. Il est donc parti plus sereinement qu’Antoine, qui, lui, a dû apprendre à vivre avec l’absence de ses proches.
Cependant, ils n’ont pas vraiment le temps de s’ennuyer : ils doivent entretenir leur bateau, réfléchir à la stratégie, contrôler les performances de leur embarcation et surveiller constamment la météo. À cela s’ajoute l’importance de la communication avec leurs familles, les bateaux concurrents, les attachés de presse et les médias – sans oublier de suivre les résultats du Stade Rochelais !
Chacun avait organisé ses contacts familiaux : Antoine Cornic appelait sa famille tous les lundis et jeudis soir, tandis que Yannick Bestaven privilégiait les messages écrits pour rester en lien avec ses proches.
Tous deux, à la fin, auraient volontiers refait ce voyage une seconde fois, tant les trois mois leur ont paru passer vite !
Enfin, ils ont abordé un aspect souvent méconnu : la gestion de la fatigue et du bruit.
Les IMOCA sont des bateaux extrêmement bruyants, à cause des vibrations, des chocs contre les vagues et du moteur. Pour réussir à se reposer, les skippers utilisent différents équipements : bouchons d’oreilles, casques anti-bruit ou encore écouteurs. Antoine Cornic a d’ailleurs confié qu’il avait découvert, au cours de cette édition, l’efficacité des casques audio, habituellement utilisés pour écouter de la musique, pour s’isoler du vacarme ambiant.
Finalement, la rencontre s’est achevée après une heure d’échanges passionnants, qui nous a semblé passer bien trop vite.
Un grand merci à Antoine Cornic et Yannick Bestaven d’avoir pris le temps de venir partager avec nous leur expérience extraordinaire !
Merci à Camille, Oscar et Noé pour l’article et les photos
Nous avons eu le plaisir d’accueillir, du 30 mars au 5 avril 2025, une délégation italienne.
Dans le cadre d’une mobilité individuelle Erasmus+, deux élèves du Lycée Carlo Amoretti d’Imperia (Ligurie) ont été accueillies dans deux familles d’élèves du Lycée Jean Dautet. Elles ont ainsi pu vivre, pendant une semaine, au rythme d’un lycéen français en suivant notamment l’emploi du temps d’une classe de Terminale option Euro Espagnol avec deux spécialités de leur choix. Leur professeur de français a pu, quant à elle, suivre les cours d’italien LVB de la Seconde à la Terminale ainsi que ceux de la spécialité HLP (Humanités, Littérature et Philosophie).
Ce temps d’accueil, d’échanges et donc d’ouverture internationale n’aurait pas été possible sans la disponibilité des deux familles françaises que nous remercions très chaleureusement ainsi que celle des professeurs qui les ont accueillies dans leur cours et/ou accompagnées lors de leur séjour. Virginie Devaine, professeur d’italien
Le championnat de France UNSS de rugby à 7 Garçons s’est déroulé du mardi 1er au jeudi 3 avril 2025 à Dole (Jura).
L’équipe de garçons représentant l’association sportive du lycée a brillamment remporté la compétition en dominant toutes les équipes rencontrées et en faisant preuve d’une grande maitrise collective notamment lors des phases finales.
Les résultats sur des formats de matchs de 2×7 minutes :
Matchs de poule :
Victoire contre Grenoble 31 – 14 Victoire contre Figeac 50 – 5 Victoire contre Pithiviers 46 – 0
Matchs de qualification : Victoire contre Toulon 19 – 7
La langue optionnelle LVC est enseignée 3H par semaine à partir de la classe de seconde jusqu’en terminale.
Du niveau débutants en seconde au niveau A2-B1 en terminale, le tronc commun est complété par le contenu culturel riche et varié pour répondre à la motivation des élèves.
Les axes thématiques étudiés sont les mêmes qu’en LVA et LVB, avec un contenu adapté.
L’option est suivie sur l’ensemble du cycle terminal.
La LVC russe ne fait pas partie des épreuves de contrôle continu. Les notes trimestrielles sont prises en compte dans le cadre du baccalauréat.
Un alphabet cyrillique, différent du français. Différent ? Mais pas insurmontable. On le maîtrise rapidement. Les règles de lecture sont plus simples qu’en français ou en allemand. L’écriture offre un vrai exercice de calligraphie.
Un grand nombre de mots d’origine étrangère facilite l’apprentissage lexical.
Une grammaire structurée contribue à développer la logique et l’analyse, aiguise le sens de la curiosité.
La richesse linguistique et culturelle du russe favorise l’apprentissage de plusieurs matières et de manière transversale : le russe et l’histoire, la littérature, la physique, la musique, le grec et le latin, etc.
Le russe après le lycée
Plusieurs établissements d’études supérieures proposent l’enseignement de russe en complément ou spécialité :
À l’université, en sections de langues et civilisations ou langues appliquées, ainsi que dans les filières spécialisées en traduction.
En écoles supérieures : Polytechnique, Centrale, Mines, Sciences-Po, HEC, ENA, et écoles d’ingénieurs.
Perspectives de carrière
Les spécialistes de la langue russe sont rares aujourd’hui, donc très demandés à tous les niveaux : analystes de terrain, agents consulaires, traducteurs, ingénieurs, commerciaux, employés du tourisme et tant d’autres.
C’est une langue qui est souvent parlée dans les pays de l’Europe de l’Est, très utilisée dans l’espace russophone (les pays de l’ex-URSS) et présente partout dans le monde, car elle est une des 5 langues internationales officielles. Découvrir la culture russe, c’est aussi comprendre la géopolitique contemporaine marquée par la présence russe sur la scène internationale.